L’expérience utilisateur a une part de plus en plus considérable dans le monde du digital ; en effet, les consommateurs sont davantage au centre des idées de stratégies numériques. C’est eux que les sociétés doivent prendre en compte car leur satisfaction raisonne avec résultats, en matière de trafic et de conversions. À l’aide de la réflexion de Jeremy Knauff, votre agence digitale vous donne les conseils principaux pour améliorer votre efficacité.
1 : trouvez un hébergeur de qualité
C’est l’élément le plus déterminant. Ne lésinez donc pas sur les moyens à ce sujet ; votre site internet est votre vitrine. Investir sur un hébergeur web de qualité vous sera au final, bénéfique, malgré l’investissement en termes de temps et d’argent.
La première impression qu’un utilisateur se fait de votre site est décisive pour la suite. Et ce, même avant d’être sur ce dernier, à analyser l’esthétique ; dès le moment où il fait sa recherche et clique sur un de vos URLs, vous pouvez gagner des points… ou en perdre. La vitesse de chargement de la page est trop souvent négligée, et la qualité de l’hébergeur web que vous choisissez, a une corrélation directe avec l’expérience utilisateur. Et c’est Amazon qui avait tenté de le démontrer, à l’aide d’une analyse statistique ; la société américaine avait constaté qu’une baisse de 1% sur ses ventes, serait intervenue si elle avait perdu 100 millisecondes sur le temps de chargement de ses pages. On parle là, d’un laps de temps qui n’est même pas visible pour un humain.
Un hébergeur web peut autant vous faire défaut, que vous mettre dans de bonnes dispositions. À vous de mettre les investissements nécessaires, pour profiter par effet domino, d’un référencement organique et d’un coût des paiements par clic à la hausse, d’une hausse du temps des visiteurs passé sur votre site et leur conversion, ainsi qu’un impact direct financier grâce à ces éléments. Et ceci, grâce à une amélioration de quelques centièmes, voire millisecondes de vitesse de chargement des pages.
Pour trouver le bon hébergeur web, n’hésitez pas à mettre le prix pour vous différencier de vos concurrents. Trouvez celui qui va satisfaire vos utilisateurs et l’algorithme de Google ! Un hébergeur de qualité présente, entre autres, des serveurs puissants. Par exemple, il y a SiteGround et Hostinger, qui sont deux des références mondiales en matière d’hébergeurs web.
2 : utilisez un CDN
Ensuite, c’est un outil qui est de plus en plus utilisé, y compris par les géants du marché, tels que Facebook, Amazon et compagnie : les Content Delivery Networks (CDN), soit les réseaux de diffusion de contenu. Vous allez avoir du mal à vous passer, si ce n’est pas déjà le cas. L’amélioration de la vitesse de chargement de vos pages grâce aux CDN est particulièrement notable, car vous libérez de la bande passante et baisser le nombre de requêtes.
Le principe est simple : ces Content Deilvery Networks sont des réseaux de serveurs, dispatchés à travers le globe. Ainsi, au moment de la recherche d’un utilisateur, le CDN aux serveurs les plus proches géographiquement, téléchargera la version statique effectuée par le cache. Un gain financier au niveau de l’utilisation de la bande passante, et un gain en matière d’expérience utilisateur, puisque ce sera plus rapide
3 : limitez les requêtes HTTP
Puis, il y a un troisième point important, qui est un problème bien plus commun que les gens ne peuvent le penser. Très souvent, les webdesigners ne font pas de la vitesse de chargements des pages, une priorité (ou bien, ils ne savent pas spécialement optimiser ce paramètre).
Alors, plus il y aura de requêtes HTTP programmées, plus les pages vont mettre du temps à se charger. On voit énormément la multiplication de ces requêtes autour des fichiers HTML, CSS ou encore JavaScript, qui Et cela amène à une perte considérable de vitesse de chargement des pages.
Pour régler la mire, vous pouvez retrouver des éléments de réponse à l’aide de sites de tests de vitesse, tels que Google PageSpeed Insights, ou Pingdom, plus complet. Ces paramètres a rectifié, seront généralement liés à :
- la combinaison de fichiers ; fusionnez les fichiers JavaScript et CSS, chacun dans un dossier par exemple. Ces dossiers ne seront donc téléchargés qu’une fois.
- éviter les plugins et les redirections. Ces deux outils engendrent une perte de vitesse ; les plugins ouvrent leurs propres fichiers JavaScript et CSS, tandis que les redirections ajoutent des requêtes HTTP. Ainsi, s’il est possible de s’en passer sur certaines situations, n’hésitez pas à le faire. Par ailleurs, sur WordPress, il existe des plugins, tels que Gravity Forms, qui ont des options pour désactiver leur chargement.
- privilégiez les collections d’icônes (toolkits) tels que Font Awesome ; ces outils n’utilisent qu’un fichier, ce qui contribuera à vous faire gagner ces millisecondes sur vos chargements de pages.
4 : optimisation des médias
Enfin, un dernier point estimé comme étant essentiel à une vitesse de chargement des pages plus rapides, et donc par effet domino, à un meilleur trafic et de meilleures conversions, c’est l’optimisation de vos médias.
Nous sommes à une époque où les appareils équipés d’un dispositif photo sont plus que communs. De plus, il est aussi très simple d’insérer des images en ligne. Alors, cela amène à ne pas faire très attention à l’optimisation de ces médias. Souvent, les images ne sont, par exemple, ni redimensionnées, ni compressées avant d’être ajoutées en ligne. Elles sont bien plus grandes que la taille recommandée (format et dimension). Les utilisateurs en font les frais en matière de vitesse de chargement, surtout les mobinautes.
En plus d’adapter les tailles d’images aux dimensions recommandées, le format des images et des vidéos peut être optimisé selon le type de médias. En effet, lorsque vous utilisez une photographie, le format JPEG sera le plus adapté. Tandis que pour une photo principalement composée de couleurs unies, les formats PNG ou GIF conviendraient plus. Puis, concernant les médias vidéo, le format MP4 est considéré dans la plupart des cas, comme le fichier le plus approprié, principalement pour ses fichiers peu volumineux. Ainsi, ces petites rectifications ne sont que très peu coûteuses, autant financièrement, qu’en matière de temps. Et, les résultats que vous récolterez, seront intéressants.
Pour des changements optimaux, attendez-vous néanmoins, à un travail plus technique de la part de votre développeur ; en effet, il devra remanier les médias, afin qu’ils soient adaptés à tous les écrans, à travers les langages HTML et CSS.
Pour conclure
Il existe énormément de moyens de rectifier le tir à la suite d’un trafic, et d’un taux de conversion de mauvaise qualité. Les points évoqués sont les principaux et ceux qui pourraient avoir le plus d’impact. En outre, on peut évoquer les cas du slash final des URLs, de l’autorisation de la mise en cache du navigateur, ou de l’utilisation de Gzip, par exemple.
Quoi qu’il en soit, il paraît assez clair, que les problèmes principaux résident tous autour de la vitesse de chargement des pages. Un utilisateur veut avoir accès rapidement à son intention de recherche, ou il ira trouver son bonheur ailleurs. D’autant plus que les revenus sont directement liés à cette vitesse de chargement des pages web.
Par ailleurs, l’expérience utilisateur va être une tendance encore plus précieuse qu’elle ne l’a été ces derniers temps, en cette année 2020. Cela peut s’expliquer par les nombreux moyens technologiques en place, et par les attentes en matière de satisfaction des utilisateurs. Puis, sans oublier que, la vitesse de chargement d’un site est bien évidemment un facteur pris en compte par l’algorithme de Google pour le référencement organique, et donc, un élément encore plus clé.
Ainsi, n’hésitez pas à faire appel à votre agence digitale ! Ses spécialistes sont à votre écoute, pour vous guider, vous conseiller, et vous proposer une stratégie de qualité pour votre société.