Étude : les formats publicitaires les moins appréciés des internautes

Étude : les formats publicitaires les moins appréciés des internautes

L’impact de la publicité sur le digital est incontournable, c’est indéniable. Il n’y a qu’à regarder la part qu’elle peut avoir dans les chiffres d’affaires de Facebook ou Google pour ne citer qu’eux. Les moyens de solliciter les internautes sont de plus en plus nombreux, mais également de plus en plus intrusifs. eMarketer vient d’effectuer une étude sur les annonces publicitaires qui dérangent le plus les internautes. Retrouvez les données de cette étude illustrée par votre agence SEA.

Les différents formats incommodants

À l’aide d’une étude établie en juillet dernier, eMarketer a tenté de savoir quels types d’annonces publicitaires étaient les plus dérangeants pour les internautes. Les dispositifs mis en place sont variés dans leur emplacement et leur utilisation. Voici ceux dont les utilisateurs réprouvent le plus :

  • les publicités vidéo qui s’affichent avec le son ; 2/3 des sondés sont de cet avis.
  • toujours de l’autoplay, avec les publicités vidéo qui s’affichent, mais sans le son ; 55% des utilisateurs interrogés sont de cet avis.
  • les publicités audio sur les services de streaming de musique ou de podcast.
etude eMarketer ads type
Résultats des types de publicités les moins appréciés des internautes

Puis, on voit que la société d’étude de marché a voulu s’intéresser aux ressentis des cybernautes sur les publicités ciblées. Une initiative peu habituelle dans ces types de sondage, mais qui est une très bonne idée pour le coup. Ainsi, nous retrouvons parmi les publicités ciblées les moins appréciées des internautes desktop et mobile :

  • les publicités basées sur l’historique des recherches.
  • les bannières publicitaires pour des produits déjà achetés.
  • les publicités ciblées sur les réseaux sociaux ciblées selon les centres d’intérêts.
  • les bannières publicitaires pour des produits consultés mais non-achetés.

Des données intéressantes pour les annonceurs

On pourrait se laisser tenter de croire à la suite de ces résultats, que les annonceurs vont être inspirés à effectuer certains changements. Pour le coup, c’est déjà le cas de Coalition for Better Ads ; l’association mondiale composée de IAB, Google et Facebook entre autres, œuvre en faveur d’une meilleure utilisation des annonces publicitaires pour améliorer l’expérience utilisateur. D’ailleurs, elle avait effectué une étude plus complète en 2017, mais similaire à celle d’eMarketer.

Quoi qu’il en soit, les annonceurs et les éditeurs de site peuvent exploiter cette nouvelle étude afin de se placer de façon stratégique, sur des emplacements publicitaires moins dérangeants. Se soucier de l’internaute peut déboucher sur une augmentation des taux de clic et de conversion. Il faut également prendre en compte des éléments considérés comme des détails, tels que le navigateur ; par exemple, Google Chrome est le navigateur référence. Et la moitié des sondés avouent utiliser l’extension Ad block. Malgré tout, les internautes n’utilisant pas cette extension sont moins agacés que ces derniers face aux annonces publicitaires. Cela peut s’expliquer par le fait que certaines annonces ne soient justement plus bloquées par moment.

Que retenir ?

L’avis des internautes est important mais les annonceurs et éditeurs de site recherchent avant tout la performance. Avec les moyens qui leur sont fournis et les évolutions en matière de protection des données qui mettent du temps à arriver, les internautes vont surtout devoir continuer de supporter les publicités ciblées.

Votre agence spécialisée SEA reste à votre écoute pour toute demande. Nos experts se feront un plaisir de vous aider dans l’évolution de votre stratégie digitale.

Facebook
Twitter
LinkedIn